UFC-Que Choisir de l'Ain

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31 juillet 2020

Gel hydroalcoolique – Comment bien le choisir

 

Vu sur notre site national : 

 

En France et ailleurs, plusieurs gels hydroalcooliques ont fait l’objet d’alertes et de campagnes de rappel. Leur composition ne permettait pas de garantir un effet virucide. Un comble, en pleine épidémie de Covid-19. Quelques critères permettent de choisir un désinfectant de qualité.

 

EN RÉSUMÉ : BIEN CHOISIR DU GEL HYDROALCOOLIQUE

  • Privilégier l’achat en pharmacie ou supermarché.
  • Éviter l’achat sur Internet et le gel hydroalcoolique fait maison.
  • Le gel doit contenir au minimum entre 60 et 80 % d’alcool (éthanol, propane-1-ol ou n-propanol, propane-2-ol ou isopropanol).
  • La liste d’ingrédients doit être courte (4 ingrédients idéalement).
  • Vérifier la présence de la norme EN14476.
  • Un gel hydroalcoolique conforme s’évapore rapidement et ne colle pas.

Parce qu’elles ne contenaient pas assez d’alcool, plusieurs marques de gel hydroalcoolique ont été rappelées (voir encadré). En Australie, nos confrères de Choice (1) ont épinglé un fabricant (Mosaic Brands) qui commercialisait un produit à 23 %, contre 70 % affichés. Dans ces conditions, comment savoir si le produit est fiable ? Plusieurs moyens permettent de s’en assurer.

L’ACHAT EN PHARMACIE À PRIVILÉGIER

Afin d’éviter les mauvaises surprises, les achats sur Internet sont à éviter. Les gels et solutions hydroalcooliques vendus en supermarché ou en pharmacie offrent davantage de garanties. « La plupart du temps, nous achetons ces produits à des laboratoires pharmaceutiques. Ils subissent un contrôle de qualité avant livraison », explique Pierre Béguerie, président de la section A représentant les titulaires d’officine à l’Ordre des pharmaciens.

À titre dérogatoire, les pharmaciens ont également la possibilité de fabriquer et vendre leur propre solution hydroalcoolique, suivant une formulation édictée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). « Nous sommes obligés de respecter cette formule au gramme près et ces formulations sont tracées », indique Pierre Béguerie.

L’IMPORTANCE DE LA COMPOSITION

Pour être efficace, un gel hydroalcoolique doit contenir un certain dosage d’alcool, compris entre 60 et 80 %. Cette concentration est indiquée sur l’étiquette (60 % v/v par exemple). C’est elle qui garantit l’action virucide du produit. Trois types d’alcool sont à privilégier :

  • éthylique (éthanol) ;
  • propylique (propane-1-ol ou n-propanol) ;
  • isopropylique (propane-2-ol ou isopropanol).

Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), « les autres formulants de la composition peuvent avoir une influence sur l’efficacité des solutions hydroalcooliques désinfectantes et sur le temps de contact nécessaire pour obtenir l’effet recherché ».

La formulation de l’OMS se limite à 4 ingrédients :

  • alcool (éthanol 96 % ou isopropanol 99,8 %) ;
  • eau distillée ou eau bouillie refroidie ;
  • peroxyde d’hydrogène 3 % ;
  • glycérol 98 %.

Les listes d’ingrédients courtes sont donc préférables à celles contenant parfums ou colorants, par exemple. « Ces produits sont destinés à être appliqués souvent. Plus il y a d’applications, plus le risque de réaction allergique augmente », ajoute Pierre Béguerie.

ET SUR L’ÉTIQUETTE ?

En matière de gel hydroalcoolique, l’Anses est claire : « Une efficacité validée sur virus enveloppés selon la norme EN14476 couvre a priori les virus de la famille des coronavirus, et en particulier le SARS-CoV-2. » Mieux vaut donc acheter un produit qui affiche cette norme sur l’étiquette. Elle garantit l’efficacité du produit contre les virus.

Mais ça n’est pas le seul point important. Pour être conforme, une étiquette doit comporter plusieurs précisions : le nom de la solution, sa composition, le nom du fabricant, la date de fabrication et le numéro de lot. Quelques indications destinées aux usagers s’y ajoutent : conditions de conservation, d’utilisation et mesures de précaution. Enfin, selon nos confrères de Choice, un gel hydroalcoolique conforme doit s’évaporer rapidement et ne pas coller.

GELS FAITS MAISON : À ÉVITER

Avec l’épidémie de Covid-19, les recettes maison de gel ou solution hydroalcoolique ont fleuri sur le web. Toutes ne se valent pas. Certaines proposent de se passer d’alcool, d’autres suggèrent l’utilisation de vodka ou font la part belle aux huiles essentielles… Or la composition de ce produit n’a rien d’aléatoire : il faut assurer une certaine concentration en alcool (supérieure à 60 %) pour obtenir un effet virucide. « Les dosages [des recettes maison] sont peu précis avec une cuillère à soupe ou un verre », souligne Pierre Béguerie, président de la section A représentant les titulaires d’officine à l’Ordre des pharmaciens. Il faut également être prudent quant à l’alcool utilisé pour fabriquer le mélange. « Un alcool à 90°, appliqué directement sur la peau, aura un effet virucide mais il abîme les mains », indique le pharmacien. Par ailleurs, pour éviter la contamination du gel, une hygiène rigoureuse des mains et des ustensiles est nécessaire. Des conditions d’asepsie difficiles à obtenir au domicile. Mieux vaut donc se laver les mains à l’eau et au savon quand c’est possible et réserver le gel hydroalcoolique, du commerce, aux autres situations.

(1) En anglais : https://www.choice.com.au/health-and-body/beauty-and-personal-care/skin-care-and-cosmetics/articles/mosaic-brands-hand-sanitiser-fails-nmi-test

Audrey Vaugrente

 

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27 juillet 2020

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21 juillet 2020

Forum des associations, Oyonnax, 5 septembre

 

MANIFESTATION ANNULÉE

SUR DÉCISION DE LA MUNICIPALITÉ

(COVID-19)

 

Venez nous rencontrer et discuter avec nous au forum des associations d’Oyonnax, samedi 5 SEPTEMBRE de 10h à 18h, à Valexpo-Centre Culturel ARAGON

 

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19 juillet 2020

les soldes d’été débuteront cette année le mercredi 15 juillet – règles spécifiques

 

S’ils sont autorisés à vendre à perte durant les périodes de soldes, les commerçants n’en sont pas moins soumis à une réglementation spécifique. Quelques précisions pour profiter au mieux des soldes, en ligne ou en boutique.

Les périodes des soldes sont devenues un moment incontournable pour faire des achats tout en réalisant des économies, parfois substantielles. Mais même pendant les soldes, la réglementation s’applique.

PÉRIODE DES SOLDES

Les soldes d’hiver (du mercredi 8 janvier au mardi 4 février 2020), comme celles d’été (qui devaient avoir lieu du mercredi 24 juin au mardi 21 juillet mais se dérouleront du 15 juillet au 11 août en raison de la crise sanitaire), commencent à la même date et durent 4 semaines (contre 6 auparavant) sur tout le territoire, hormis quelques exceptions liées à des particularités locales.

Depuis 2015, les commerçants ne peuvent plus pratiquer de soldes complémentaires, quand ils le souhaitent, pendant deux fois une semaine ou une fois deux semaines au cours de l’année (soldes flottants).

En dehors des soldes saisonniers, le mot « solde » ne peut pas être utilisé. Les commerçants peuvent en revanche procéder à des promotions, déstockages ou autres liquidations.

ARTICLES SOLDÉS

Les soldes ne peuvent porter que sur des articles déjà proposés à la vente et payés par le commerçant depuis au moins 30 jours. Outre le prix réduit affiché, le prix de référence avant les soldes doit être indiqué. Si vous procédez à des repérages avant les soldes, vous pouvez vous-même vérifier que le rabais porte bien sur le prix initial et non pas sur un prix artificiellement gonflé.

La réduction peut être faite par escompte à la caisse, cette modalité doit alors faire l’objet d’une publicité et l’avantage annoncé s’entend par rapport au prix de référence (- 30 % sur les étiquettes jaunes, – 50 % sur les vertes, etc.). Un commerçant peut ne solder qu’une partie de ses produits, mais il doit l’indiquer clairement (par exemple avec un  panneau « Nouvelle collection non soldée »). Il lui est en tout cas interdit d’acheter des produits pour les vendre exclusivement pendant la période des soldes ou de se réapprovisionner.

GARANTIE PENDANT LES SOLDES

Que l’article soit soldé ou non, les règles en matière de garantie sont les mêmes : le commerçant est tenu d’échanger ou de rembourser un article en cas de vice caché (défaut de fabrication…). Tout article soldé est également couvert par la garantie légale de conformité (la puissance du four n’est pas celle promise, le téléviseur ne capte pas les chaînes de la TNT…) : le vendeur doit entièrement répondre des défauts de conformité existant lors de la remise du produit et qui sont présumés exister à ce moment-là s’ils apparaissent dans un délai de 2 ans (et non plus de six mois depuis le 18 mars 2016).

Mais si l’article ne convient pas ou plus (problème de taille, de choix de la couleur), le commerçant n’est pas obligé de l’échanger ou de le rembourser. Il peut accepter de le faire à titre commercial uniquement (sauf publicité contraire comme par exemple un panneau « Échange ou remboursement possible même pendant les soldes »). Il est donc fortement conseillé d’essayer les articles (même si parfois trouver une cabine disponible dans certains magasins relève de l’exploit) avant l’achat.

LES SOLDES EN LIGNE

La réglementation des soldes sur Internet est exactement la même que celle pratiquée en magasin. La principale différence tient au fait qu’il s’agit de vente à distance, les clients disposent donc d’un délai de rétractation de 14 jours à partir du jour de réception de l’article. Le client pourra ainsi échanger son article ou être remboursé, sans pénalité et sans avoir à justifier sa décision.

LES SOLDES EN QUESTION

Pour plus d’informations sur les soldes, vous pouvez consulter les questions-réponses réalisées par le service juridique de l’UFC-Que Choisir.

Franck Attia

franckattia

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13 juillet 2020

L’UFC-Que Choisir de l’Ain recherche un local sur Bourg ou Péronnas

L’UFC-Que Choisir de l’Ain recherche, Sur Bourg-en-Bresse
ou à proximité immédiate (Péronnas), un local gratuit
disponible par séquences de trois heures, une à trois fois
par semaine, avec accès à internet. Ceci pour recevoir
les consommateurs burgiens et aindinois en difficulté,
et les aider à résoudre les litiges auxquels ils sont confrontés.
Tél: 04.74.22.58.94
contact@ain.ufcquechoisir.fr

 

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9 juillet 2020

ÉPANDAGES, DISTANCES DE SÉCURITÉ

 

URGENT
Deux bénévoles de notre association ont participé, le 10 juin dernier, à une discussion ouverte organisée par la chambre d’agriculture de l’Ain concernant le « projet de charte départementale d’engagements des utilisateurs de produits phytopharmaceutiques » ; cette charte doit fixer, pour notre département, les conditions d’épandage de pesticides à proximité des habitations.
 
Après la phase de concertation s’ouvre désormais une phase de consultation publique, jusqu’au 15 juillet 2020.
 
Nous engageons vivement les aindinois concernés à prendre position en participant à cette consultation publique.
 
Cliquez ici pour accéder au compte rendu de nos deux bénévoles
 
Cliquez ici pour accéder à notre argumentaire (la position défendue par l’UFC-Que Choisir de l’Ain).
 
Cliquez ici pour participer à la consultation publique

 

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7 juillet 2020

Conférence-débat Les perturbateurs endocriniens

Le 10 septembre 2020, à 18 heures, à la Maison de la culture et de la citoyenneté, 4 allée des Brotteaux (Champ de foire) 01000 Bourg-en-Bresse,

Un intervenant de l’association Santé-Environnement Auvergne-Rhône-Alpes (SERA) parlera de ces substances étrangères à l’organisme, présentes dans l’air, l’eau, les aliments, les médicaments, les produits cosmétiques, etc.,

– qui perturbent notre santé, 

– peuvent être à l’origine de certains cancers, 

– et peuvent même atteindre notre descendance.

Il répondra aux questions du public (où se trouvent les perturbateurs endocriniens, quels conseils pour s’en prémunir, etc. ?).

Entrée gratuite

 

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6 juillet 2020

Élaborons, ensemble, une loi pour une consommation responsable pour l’après-crise

 

L’UFC-Que Choisir de l’Ain vous invite

à participer à la campagne nationale :

« Élaborons, ensemble,

une loi pour une consommation responsable

pour l’après-crise »

 

Alors que le président de la République a annoncé dans sa dernière allocution vouloir s’appuyer sur les corps intermédiaires pour élaborer l’action publique de l’après-crise sanitaire,

l’UFC-Que Choisir publie ses 17 propositions pour une consommation

plus sobre, plus juste et responsable.

Dans une démarche participative, l’association appelle le grand public à s’exprimer sur celles-ci et à les prioriser, afin d’élaborer une loi pour une consommation responsable qu’elle soumettra aux parlementaires et au gouvernement d’ici l’automne.

 

Pour participer, cliquez sur l’image :

 

 

 

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5 juillet 2020