Quand « ENGIE » prend les consommateurs pour des canards sauvages….
Cette réplique de théâtre qui doit sa notoriété à Michel AUDIARD en 1968 : « Il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages », est bien significative de l’attitude de ce mastodonte qu’est « ENGIE », vis à vis de ses clients et de ses prospects.
A qui voulez vous faire croire que cette sociète, avec ses 160.000 salariés et ses services juridiques de haute volée, peut transmettre à des centaines, voir des milliers de clients des contrats qui relèvent de la vente forcée.
Le pire dans l’histoire est que UFC a réagi avec des demandes d’explications, que ENGIE a préféré ignorées, mais totalement ignorées.
Et ce n’est qu’après la parution de l’article qu’ils viennent invoquer une erreur regrettable.
Ah qui voulez vous faire croire ça ?